dimanche 22 juillet 2012

le pochoir.


Définition:
Le pochoir est une technique d'impression (ou technique picturale) qui permet de reproduire plusieurs fois des caractères ou des motifs sur divers supports.
Le pochoir est aussi la « feuille de carton ou de métal découpée, pour colorier avec une brosse, le dessin ayant le contour de la découpure », selon la définition du dictionnaire Larousse en 1874.
Le pochoir est utilisée depuis des siècles et ce, à des fins très variées (décorative, éducative, industrielle, artistique,publicitaire, signalétique, de protestation ou, même, par commodité). Très fréquemment, on a recours à cette technique pour former des lettres.

Quelques utilisations actuelles:
L'utilisation de la technique du pochoir dans notre société est encore courante même si elle peut passer inaperçue.
Son usage en dehors du cercle de l'« art de la rue » se conserve quelque peu, bien que remplacé par la sérigraphie, en d'autres temps, et aujourd'hui par les nouvelles formes de reproduction via l'informatique.
On retrouve certains marquages publics comme « PAYANT » au pied d'une place de parking, les passages pour piétons ou des « Défense d'afficher - Loi du 21 juillet 1881 ».

Le pochoir pratiquer comme art:
La discipline, une des plus importantes de l'art urbain apparaît de manière régulière à Paris, au début des années 1980, et à diverses périodes antérieures et postérieures dans d'autres villes et pays. La continuité d'action de rue et la multiplication des supports de conservation d'images, via la photographie, entraînent alors une sorte de suivi des « traces urbaines » au moins pour Paris.
Naissent alors plusieurs « noms » du pochoir. Blek le rat est souvent désigné comme point de départ du mouvement parisien début 1980, mais Marie Rouffet en 1982 dit en avoir vu avant au Canada.
On le nomme « graffiti au pochoir », « pochoir urbain » ou « pochoir de rue », historiquement associé à la figuration libre.
Les pochoiristes sont souvent des peintres de rue, utilisant une matrice de carton ou de métal, pour reproduire des dessins sur les murs, ou toute autre surface plane. Au début des années 1980, Paris voit apparaître une pléiade d'artistes s'exprimant sur les murs. Ce mouvement du graffiti urbain connaît aujourd'hui des artistes reconnus par les circuits officiels et une communauté bien plus large d'individus s'exprimant pour des raisons aussi variées qu'il existe de couleurs.
Les années 1990 voient apparaître Némo, Le Bateleur, Hao, Zao, le collectif Splix (Pixal Parazite, Spliff-Gâchette), Laszlo, Sorcière, Mosko...


La technique:
L'utilisation de la technique du pochoir peut se découper en 2 grandes étapes :
  1. La découpe, comprenant :
    • Le choix du motif à reproduire
    • Le choix du matériau
    • La découpe proprement dite
  2. L'application, comprenant :
    • Le choix du support
    • Le choix du type de couleur
    • L'application proprement dite





le graffiti.

Définition:
Les graffiti existent depuis des époques reculées, dont certains exemples remontent à la Grèce antique ainsi qu'à l'Empire romain et peut aller de simple marques de griffures à des peintures de murs élaborées. Dans les temps modernes, la peinture aérosol et lesmarqueurs sont devenus les outils les plus utilisés. Dans la plupart des pays, « dessiner » un ou plusieurs graffitis sur une propriété sans le consentement de son propriétaire est considéré comme du vandalisme, lequel est punissable par la loi. Parfois, le graffiti est employé pour communiquer un message politique et social. Il existe de nombreux caractères et styles de graffiti, cette forme d'art évoluant rapidement.




L'usage actuel:

En français, les graffiti issus de la tradition nord américaine (tags, graff, free style) côtoient les graffiti issus de la tradition ouest-européenne (collages, pochoirs). Les auteurs de ces graffiti sont appelés graffeurs ou graffiti-artists plutôt que graffiteurs. En québécois, il n'est pas rare de les qualifier de graffiti-artists de graffiteurs ou de writers, comme en anglais. Les mots-valise calligraffiti et calligraffitiste, attribués àBando dans Le Livre du Graffiti3 n'ont pas été retenus par l'usage ni par le milieu se réclamant de cette forme d'art urbain. En anglais, on évoque le plus souvent ces peintres par le terme de graffiti-artists, writers ou encore aerosol-artists. Lorsque le graffeur passe dans le domaine des créations légales, Monzon parle de peintre en aérosol.
Ces graffeurs se font connaître en apposant leur signature, communément appelée « blaze », ou celle du collectif (généralement appeléposse, crew ou squad) auquel ils appartiennent sous leurs œuvres, les murs, les métros ou encore les camions.
Graffiti est le nom générique donné aux dessins ou inscriptions calligraphiées, peintes, ou tracées de diverses manières sur un support qui n'est pas prévu pour cela. Certains considèrent le graffiti comme une forme d'art qui mérite d'être exposée dans des galeries tandis que d'autres le perçoivent comme indésirable. Dans ses formes les plus élaborées, le graffiti est également une forme d'art graphique.
Le « tag » est une signature. Il est soit apposé pour signer un graff soit utilisé seul et pour lui-même.
Le « flop » est un lettrage en forme de bulle élaboré généralement d'un seul trait. Ce procédé étant assez difficile à réaliser, certains graffeurs préfèrent les peindre lettre par lettre.

La nouvelle génération:
Le graffiti évolue rapidement et au début des années 2000 arrive ce qu'on appelle la nouvelle génération. Le lettrage devient plus carré, et l'évolution des technologies de spray lui permet de peindre plus vite, avec de nouvelles couleurs et de nouveaux effets. Cette génération s'inspire de celle dite old school mais s'affirme et fait disparaitre les traces de la précédente par son activité intense et la pratique du toyage (le fait de peindre sur un spot déjà occupé). Le mot toy en lui même, désigne un graffeur qui ne sait pas graffer.

une petite définition !

L'art urbain, ou « street art  », est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes d’art réalisé dans la rue, ou dans des endroits publics, et englobe diverses techniques telles que le graffiti, le pochoir, la mosaïque, les stickers voire le yarn bombingou les installations. C'est principalement un art éphémère vu par un très grand public.

vendredi 24 février 2012

Troisième jour de stage !

Pour ce troisième jour,nous avons retrouvé notre animatrice de départ qui est nettement plus cool et nous avons fait une vidéo stop-motion. Nous avons d'abord pris des idées sur internet puis nous en avons discuté. Et l'après-midi nous nous sommes déguisés et mis le projet en route.
Voici la vidéo:

jeudi 23 février 2012

Deuxième jour de stage !

Pour ce deuxième jour de stage, nous avons eu une autre animatrice qui elle nous a parlé de la vidéo, et des métiers dans le monde du cinéma. Nous avons également travaillé sur le portrait, nous devions nous photographier avec deux émotions contraires. Après nous avons parlé de micro-trottoir, pour ce blog et nous sommes parti le reste de l'après-midi faire du micro-trottoir. Quand nous sommes rentrés, nous avons remarqué que la camera avait eu un problème et qu'elle n avait pas enregistré. Nous étions tous déçus. Mais nous avons fait quelques photos:











Premier jour de stage !

Pour ce premier jour de stage, nous avons fait  un test de personnalité. Nous avons aussi appris à cadrer une photo. Puis nous avons fait des photos dans notre classe, puis nous sommes partis au parc et nous avons pris des photos et filmé un peu le paysage. Voici quelques photos: